Ethan Thomas :
« Durant cette année de 3e nous avons eu le privilège de participer à plusieurs évènements, nous avons rencontré des témoins de guerre, nous nous sommes rendus dans les camps de concentration à Auschwitz, des choses qui nous marquent à vie et qui nous font grandir d’un coup. Ecouter ces histoires de survie, de guerre, de déportations ont été malgré l’horreur qui en ressort bénéfiques. Toutes ces rencontres m’ont bouleversé, nous n’étions plus devant nos écrans télé à voir des documentaires sur les ravages de la guerre ou encore au cinéma en train de regarder un film où un metteur en scène avait tenté de capter la réalité de ce chaos. Aussi terribles soient-elles, ces expériences m’ont plongé au beau milieu de chaos, écouter les récits de chacun, comment ils ont réussi par la force de leur courage et de leur volonté à survivre aux horreurs qu’ils ont vécu tout cela a rendu notre vision de la guerre beaucoup plus réelle, comme si nous y étions avec eux. »
« Tous ces hommes, ces femmes, ces enfants sacrifiés pour rien, uniquement à cause de la folie d’un homme, de tels actes doivent rester dans le passé et en aucun cas se répéter. De plus nous sommes tous les enfants, petits enfants et arrières petits enfants de cette tragédie et il est important de se souvenir de ce que des millions de personnes ont écu, combien elles ont souffert »
« Cela m’a ouvert encore plus les yeux sur les choses importantes de la vie, à quel point il est important d’avoir ses propres opinions et de se battre pour ce qui est juste. Malheureusement beaucoup pendant la guerre ne l’ont pas fait et ont regardé des dizaines de personnes se faire déporter sans rien faire, d’autres faisaient partis de la milice et aidaient les allemands. Ils avaient peur pour eux même et ne se souciaient donc guère de ce qui pouvait arriver à autrui. Malgré tout, ces témoignages nous ont aussi montré que d’autres ont tout risqué pour aider et pour sauver des juifs. Moi même j’ai eu l’honneur d’avoir un grand père qui a aidé en prévenant plusieurs familles qu’elles allaient être déportées et un arrière grand père qui travaillant pour la banque de France a été chargé d’accompagner l’or de la France à l’Afrique pour ne pas que les allemands tombent dessus. C’est une petite pierre à l’édifice mais je suis fier de ces ancêtres qui ont eux aussi par leurs petits moyens combattus la barbarie et qui ont perpétué ce devoir de mémoire pour que moi aussi je puisse faire de même aujourd’hui. »
« C’est d’ailleurs la grande différence entre l’histoire étudiée en classe et celle racontée par les témoins, c’est cette réalité pas des mots écrits sur un cahier ou dans un livre, non, nous avons pu éprouver les émotions de chacun des témoins. Quand ils nous racontaient leur histoire on pouvait voir dans leurs yeux ou ressentir dans le son de leurs voix ce qu’ils avaient vécu et ce notamment grâce aux détails de chaque histoire »
« J’ai vraiment été bouleversé et ému d’un côté par la barbarie dont peuvent faire preuve certains hommes n’ayant aucune considération pour tout un peuple, des êtres humains et d’un autre côté par le courage, la force et la foi des autres comment ils ont réussi à survivre et à se battre même des enfants »
« Je pense que ces rencontres ne sont pas juste utiles ou importantes, elles sont vitales. On nous apprend tout au long de notre scolarité que le savoir est important et ce dans n’importe quel domaine et ici c’est encore la même chose, le savoir c’est le pouvoir. Le pouvoir de faire en sorte que plus jamais de telles horreurs ne se reproduisent. De pouvoir résister aux oppressions et de nous battre pour la liberté »
Aurore Lattanzio :
« Le devoir de mémoire permet de rendre hommage à des êtres humains comme nous, qui sont morts en martyrs à cause d’autres humains comme nous. »
« Ainsi, le devoir de mémoire démontre la capacité de l’homme à être cruel, et à détruire ses semblables. Il est important de prendre conscience de tout cela car quand on s’instruit sur l’Histoire, comme nous le faisons en cours, on constate que l’Homme reproduit toujours ses erreurs, et les pires. »
« On le comprend lorsque des personnes comme celles que nous avons rencontrées en classe nous racontent leur terrible et injuste histoire. La Seconde Guerre Mondiale, sans doute la pire que la terre n’ait jamais porté, s’est produite il y a seulement une soixantaine d’années. Et ils en ont été témoins, ils ont eu leur vie détruite à cause de celle-ci, et ils sont rares à en être sortis vivants »
« Maintenant leur unique but est de faire partager leur témoignage aux plus jeunes générations pour qu’ils comprennent mieux, et pour que nous n’oubliions jamais. »
« C’est nous qui allons faire le monde de demain, alors autant que nous nous sentions tous plus ou moins touchés sentimentalement par l’horreur de la guerre, pour que nous faisions en sorte en grandissant que ça ne se reproduise jamais dans les générations à venir. »
« Personnellement, je n’oublierai jamais ces gens. Ils m’ont touché de manière indélébile. On leur doit un infini respect. Ils sont profondément humains eux, humbles et pourtant on leur a tout arraché »
« Ils sont tellement courageux d’avoir encore foi en l’humanité et ainsi de raconter leur histoire devant une trentaine d’adolescents qui n’ont jamais connu la guerre et qui ont l’habitude de geindre sans arrêt pour des choses futiles (d’ailleurs mon comportement a changé par rapport à cela et maintenant je réfléchis à deux fois avant de me plaindre). »
« On sent qu’ils ont confiance en nous, et qu’ils nous confient une sorte de « mission ». A nous de nous y tenir »
Evann Denis :
« Le devoir de mémoire sert à ne pas oublier ce qu’ont enduré ces personnes là, à montrer les atrocités qui ont eu lieu, à commémorer ce qui s’est passé, durant cette horrible période pour espérer que plus jamais de telles choses n’eu lieu et que si cela devait se reproduire tout faire pour l’en empêcher »
«Mon ressenti par rapport à la venue de Mr Séméria, Mr Wancier et Mr Wolman est que je trouve que l’on a beaucoup de chance de pouvoir les rencontrer »
« Leur venue était très touchante, très instructif, cela m’a beaucoup plu de pouvoir échanger avec eux. J’ai aussi pu mieux comprendre ce qui s’est passé. J’ai trouvé cela vraiment très passionnant. J’ai adoré pouvoir rencontrer ces personnes là ».
« Ils nous ont aussi donné des leçons de moral comme quand Mr Séméria disait qu’il ne pouvait pas se plaindre car lui il est encore là aujourd’hui, de me montrer des nouvelles informations comme le Yiddish que Mr Wancier nous a fait part en classe »
Hugo Barrale :
« Pour moi le devoir de mémoire est important, il est essentiel de se rappeler le vécu de certaines personnes »
« Quand les témoins de guerre sont venus nous raconter leur histoire, leur vécu nous avons été très émus par leur parcours, ils n’ont pas eu une vie facile mais ils ne s’en plaignent pas. Ils sont braves, forts et pour eux venir nous en parler n’est pas une chose facile mais pourtant ils le font pour tous ceux qui ont succombé à ces injustices »
« Leur venue nous a fait comprendre ce qu’ils ont vécu et qu’il faut qu’on arrête de se plaindre »
Léa Brahame :
« Le devoir de mémoire sert à rendre hommage aux victimes et surtout à transmettre l’histoire aux générations futures afin qu’ils ne commettent pas les mêmes erreurs »
« Je pense que le devoir de mémoire est important car les actes et les atrocités commises dans le passé peuvent vite tomber dans l’oubli et se reproduire »
« La venue des anciens déportés m’a extrêmement touché. Je tiens à remercier ces personnes qui nous ont accordé de leur temps pour nous raconter leurs histoires »
« En partageant leurs histoires ils nous ont fait passer du livre d’histoire à la réalité et cela a été très intéressant et en même temps bouleversant. Le fait d’avoir devant des survivants de cette horrible guerre a été pour moi très impressionnant. »
« En les voyant je me suis rendue compte que les petits problèmes de la vie quotidienne n’étaient rien comparé à ce qu’ils ont vécu et qu’au jour d’aujourd’hui nous nous plaignons trop pour des choses futiles »
« C’est effrayant de se dire que la souffrance de ces témoins de guerre qui est inimaginable pour nous a été ressenti par des millions d’autres personnes. Personne ne mérite cela »
Ilona Olsen :
« Nous nous devons de nous souvenir par respect pour les victimes étant sacrifiées malgré eux »
« Raconter leur histoire doit être très difficile pour eux. Ils doivent aller chercher des souvenirs qu’ils préféreraient peut être laisser dans l’oubli. La venue de ces témoins est d’après moi quelque chose de très courageux mais probablement de très douloureux. Je leur en suis extrêmement reconnaissante et les remercie de tout cœur de nous avoir permis d’apprendre cette réalité »
Victoria Faivre :
« Je remercie ces personnes car il a dû leur falloir beaucoup de courage pour s’exprimer sur leurs enfances et leurs passés »
« J’ai conscience que c’est exceptionnel d’avoir rencontré ces personnes et j’ai un immense respect envers eux de par leur courage et leur force. Ils ont quand même réussi à retrouver une vie normale »
« Il y a quelques années je ne pensais pas que de telles horreurs s’étaient produites lors de la seconde guerre mondiale. Je pense que ces visites et les cours d’histoire m’ont fait ouvrir les yeux et m’ont montré que les humains étaient et sont la pire espèce au monde »
« Les objectifs de ces rencontres sont de ne pas oublier afin que ça ne se reproduise pas, avoir une approche de la vie d’une personne au temps de la guerre »
« Malheureusement je pense que ces erreurs sont en train de refaire surface »
« En trois mots ces rencontres sont bouleversantes, touchantes et tristes »
« Les Hommes sont horribles, il y a toujours eu des personnes racistes, antisémites, homophobes ou machistes, ce qui prouve que les hommes n’ont pas changé et qu’ils n’ont pas compris que l’on est tous pareil malgré la couleur de peau, le sexe, les origines ou les attirances sexuelles. Malgré tout, il faut garder espoir que la paix régnera un jour sur le monde »
Edouard Morand :
« La venue de plusieurs témoins de guerre du XXe siècle m’a beaucoup ému, c’est une énorme chance d’avoir pu écouter le passé de ces personnes qui ont souffert. Je les considère comme des héros. On se doit de les accueillir avec beaucoup de respect et d’honneur, de les remercier d’être venus en classe »
« Nous garderons ces témoignages précieusement pour les transmettre de génération en génération et ne pas oublier ce qu’ils ont vécu »
« Si on nous raconte ces témoignages c’est pour ne pas les oublier mais aussi pour se dire que toutes ces souffrances datent de seulement quelques dizaines d’années »
« Je remercie toutes ces personnes qui ont un passé difficile mais qui viennent dans notre classe, nous raconter leurs témoignages. Ils seront toujours la bienvenue car contrairement à ce que certaines personnes peuvent penser la jeunesse s’intéresse aux témoignages de victimes de guerre et on espère tous dans notre classe accueillir d’autres héros de guerre »
Enzo Namur :
« Des énormes erreurs ont été commises et en informant la population, cela permet la non reproduction de ces erreurs »
« La venue de ces témoins de guerre m’a beaucoup ému car ils ont vécu des choses affreuses et sont venus nous les raconter. J’ai énormément de respect pour ces personnes ; ils m’ont aussi impressionné car ils gardent le sourire malgré leur passé incroyablement affreux »
« Cela m’a permis de connaître l’histoire de témoins de guerre. Mon devoir est maintenant de la transmettre à mes futures enfants et petits-enfants.»
« Nous avons pu avoir des témoignages poignants qui sont énormément dans le détail, on a l’histoire de ces personnes jours après jours, l’émotion règne. »
« Les objectifs de ces rencontres sont de faire prendre conscience aux jeunes générations que l’homme est capable du pire, c‘est à nous maintenant de transmettre à nos futurs enfants les abominations de la guerre afin que ces horreurs ne se reproduisent plus »
Lisa Bernier :
« L’histoire expliquée par les témoins donne une meilleure compréhension de ce qui s’est passé et elle accède à un point de vue différent d’un enseignant. On apprend des détails qui ne sont pas forcément expliqués en cours d’histoire »
« La venue de ces différents témoins m’a été très enrichissante et intéressante. J’ai pu mieux comprendre les différents événements que j’ai appris au cours de cette année »
« J’ai pu me rendre compte à quel point ils ont souffert et que cette période était difficile et traumatisante »
« C’était impressionnant de voir que ces personnes étaient heureuses malgré tout ce qu’ils ont pu vivre et endurer et qu’ils ne montraient pas leur souffrance »
« En écoutant leur histoire cela devient donc plus réel et on se projette plus dans l’histoire et on arrive à mieux imaginer les événements »
« Rencontrer quelqu’un qui raconte ce qu’il a vécu donne envie de réfléchir et de poser des questions »
« L’objectif principal de ces rencontres est de ne pas refaire les mêmes erreurs du passé en expliquant à la jeunesse ce qui s’est passé »
Sophia Ouhocine :
« La rencontre des témoins de guerre permet de se rendre compte que des personnes réelles qui auraient pu appartenir à nos familles ont vécu ce qui est dans les livres ou les documentaires »
« Cela me touche beaucoup car ils nous racontent leur histoire tout en nous regardant dans les yeux. C’est comme si nous revivions le passé avec eux. Ils partagent des anecdotes pleines d’émotions »
« Ce contact humain a été primordial pour que je prenne encore plus la dimension de l’horreur de ces événements »
« Ces rencontres m’ont fait prendre conscience que ces événements se sont passés récemment »
« Cela m’a également permis de mieux comprendre l’histoire de ma famille, mon arrière grand père ayant été prisonnier de guerre et un de mes grand-oncle ayant fait partie de la résistance »
« L’histoire permet de comprendre le passé, la mémoire permet de construire le présent »
« Les témoins permettent d’amener une humanité et une mémoire vivante sur les évènements. Cette mémoire vivante nous permet de devenir des acteurs du devoir de mémoire »
Nina Quidelleur :
« Grâce à la mémoire on fait honneur aux personnes qui se sont battues pour retrouver la liberté »
« Avec leur venu, j’ai pu ressentir le mal être la peur, le désespoir dans les regards de ces personnes pendant qu’ils racontaient leur histoire »
« Ce sont des horreurs qu’il ne faut jamais oublier. Nous pouvons voir comment certains êtres humains peuvent faire du mal juste pour le plaisir ou pour le pouvoir »
« Je trouve qu’il faut aider ces personnes à parler de leurs histoire, pour dire au monde tout le mal qui s’est produit, pour que les gens de l’extérieur ressentent les horreurs et les erreurs de l’humain »
« Merci pour tout car c’est une sorte de leçon de vie, il ne faut pas oublier »
Danaé Caneri :
« La mémoire n’est pas toujours facile à transmettre surtout pour ceux qui l’ont vécu car ce sont souvent des atrocités de la folie inhumaine, des guerres, qui ont eu lieu. Pourtant il faut du courage mais c’est nécessaire pour empêcher chaque personne, chaque génération de reproduire ces mêmes actes qui ont détruit des vies qui ont fait honte à notre terre. Alors prenons exemple sur des personnes formidables telles que Monsieur Séméria, Monsieur Wancier et Monsieur Wolman »
« Ils nous ont apporté de l’émotion du savoir, de la compassion et surtout ils nous ont fait comprendre à quel point ces guerres les ont fait souffrir et à quel point c’était important de tout faire pour ne pas oublier et ne pas recommencer »
« J’ai d’abord ressenti énormément de peine mais je me suis dit qu’il ne fallait pas se morfondre et que nous devons prendre cette venue pour une superbe expérience et accomplir leurs souhaits également leur faire honneur. »
« Ces venues m’aident en quelque sorte à grandir et à comprendre ce qu’est la véritable souffrance »
Thomas Long :
« J’ai été très ému de la venue des témoins ça m’a vraiment touché »
« Je tiens à leur dire un grand merci »
« Ça m’a servi à voir le côté atroce de l’homme et aussi à me forger un esprit citrique par rapport à ça »
« Pour moi l’objectif principal de ces rencontres sont de ne pas oublier cette dure période pour ne pas refaire les mêmes erreurs »
Axelle Jordana :
« Cela m’a permis de réaliser plus précisément l’horreur des faits. Grâce à leur témoignage cet épisode de l’histoire n’est pas un chapitre des livres d’histoire »
« Cela devient quelque chose de réel de palpable et qui restera définitivement inscrit dans nos mémoires. Le fait que l’histoire soit racontée par ces témoins nous fait ressentir nettement plus les émotions »
« L’objectif de ces rencontres et de ne pas oublier et transmettre aux générations futures cette part sombre de l’histoire. Tel est le fondement de notre devoir de mémoire. Cela doit permettre de comprendre analyser et transmettre « celui qui ne connais pas l’histoire est condamné à la revivre » »
Julien Mettler :
« Le devoir de mémoire c’est une responsabilité pour nous, futurs citoyens de se souvenir d’évènements tragiques, de personnes qui ont d’une manière ou d’une autre marqué l’Histoire »
« Ces témoins sont essentiels pour une meilleure compréhension et pour mieux se rendre compte de ces évènements »
« À la venue de Mr Séméria et de deux anciens déportés j’ai ressenti beaucoup d’admiration pour eux car ce qu’ils ont fait et parcouru durant cette triste période de l’Histoire fait preuve de beaucoup de courage et de détermination et sans ces deux qualités là ils ne nous auraient sans doute jamais parlé »
« C’était intéressant d’écouter ce sur quoi nous avions travaillé en cours du point de vue de témoins, des personnes qui étaient là, qui ont vécu cette période si sombre de l’Histoire »
« Avec l’histoire des témoins les émotions les sensations personnelles sont ajoutées au récit. Les faits racontés sont également plus précis qu’en cours car ils sont plus authentiques plus réels grâce au ressenti personnel »
« Les objectifs de ces témoignages sont de nous donner une version de la seconde guerre mondiale vue au travers de ceux qui ont été les plus touchés, les civils pour mieux se rendre compte de l’horreur et de l’effroi de la guerre afin de nous dissuader de refaire une guerre et de revivre tout ce qu’ils ont vécu »
Juliette Fiddes :
« Le devoir de mémoire c’est une responsabilité pour nous, futurs citoyens de se souvenir d’évènements tragiques, de personnes qi ont d’une manière ou d’une autre marqué l’Histoire »
« Ces témoins sont essentiels pour une meilleure compréhension et pour mieux se rendre compte de ces évènements »
« À la venue de Mr Séméria et de deux anciens déportés j’ai ressenti beaucoup d’admiration pour eux car ce qu’ils ont fait et parcouru durant cette triste période de l’Histoire fait preuve de beaucoup de courage et de détermination et sans ces deux qualités là ils ne nous auraient sans doute jamais parlé »
« C’était intéressant d’écouter ce sur quoi nous avions travaillé en cours du point de vue de témoins, des personnes qui étaient là, qui ont vécu cette période si sombre de l’Histoire »
« Avec l’histoire des témoins les émotions les sensations personnelles sont ajoutées au récit. Les faits racontés sont également plus précis qu’en cours car ils sont plus authentiques plus réels grâce au ressenti personnel »
« Les objectifs de ces témoignages sont de nous donner une version de la seconde guerre mondiale vue au travers de ceux qui ont été les plus touchés, les civils pour mieux se rendre compte de l’horreur et de l’effroi de la guerre afin de nous dissuader de refaire une guerre et de revivre tout ce qu’ils ont vécu »
Lena Lagalle-Soucasse :
« Dans le monde beaucoup de pays sont encore touchés par la dictature et la guerre et subissent une privation de leurs libertés »
« J’ai eu de la peine pour ces années tragiques qu’ils ont vécu. J’ai eu un sentiment de fierté d’avoir rencontré des témoins car nous faisons partis des rares personnes à pouvoir les rencontrer »
« Cela prouve à ces personnes qu’elles ne sont pas seules et qu’il y a des jeunes qui s’y intéressent toujours 71 ans après »
Louis Lefort :
« Les nombreux témoignages malgré leurs différences entre les lieux et les conditions de vie avaient tous un point commun : un regard humain face aux nombreuses atrocités qu’ont subi les témoins. Toutes leurs histoires étaient touchantes et pourtant révélatrices de la réelle atrocité infligée aux êtres humains »
Alexis Bellito :
« A travers ces personnes j’ai pu me situer dans l’histoire j’ai pu vivre leur expérience grâce à leurs témoignages. Depuis cette année et toute ces rencontres historiques j’éprouve le besoin de me battre afin d’honorer ces personnes car ils ont vécu le pire alors que nous vivons dans notre petit confort, eux ils ont vécu une guerre, certes avec les récents événements nous en vivons une aussi mais elle sévie loin de nous. En tout cas grâce à mon année de troisième je transmettrais ces histoires aux générations qui nous précèderont »
« Je pense que les objectifs de ces rencontres sont d’inculquer aux jeunes les atrocités du passé afin de leur faire comprendre que ces choses sont à annihiler de manière définitive »
Paul Cruanes :
« J’ai ressenti de l’admiration par rapport à la venue de plusieurs témoins de guerre du XXe siècle car j‘admire leur courage de venir parler de ce qu’ils ont vécu. Leur venue m’a servi à en savoir plus sur ce qu’il s’était passé et à savoir que l’on peut continuer à vivre après avoir vécu cela »
« Une histoire racontée par une témoin qui a vécu ces atrocités c’est rempli d’émotions et de souvenirs qui aujourd’hui ne seront pas oubliés »
« Les objectifs de ces rencontres sont de sensibiliser les futurs citoyens face à ces erreurs pour qu’ils ne fassent pas les mêmes plus tard »
Maxime Gayout :
« Le devoir de mémoire nous sert à éviter de reproduire les erreurs du passé et de remercier nos glorieux ancêtres en se rassemblant pour eux »
« La venue des témoins m’a permis de me rendre compte de l’impact des guerres du XXe siècle dans le monde. Cette venue m’a aussi permis de voir à quel point l’être humain peut être cruel envers son propre peuple »
« Il faut remercier toutes ces personnes qui se sont battues pour nous et pour la France »
Antoine Stifani :
« Les objectifs de ces rencontres sont le fait d’avoir une meilleure connaissance de l’histoire et de ne pas oublier ce qu’il s’est passé »
« La mémoire de ces guerres ne doivent pas être oubliées »
« J’aimerai remercier Mme Caplle, Mr Séméria et toutes les personnes qui nous ont suivi cette année »
Guillaume Broudeur :
« Je tiens à remercier les 4 personnes qui sont venues nous raconter leur récit »
« L’objectif de ces rencontres sont de pouvoir voir des personnes qui ont vécu et combattu pendant la seconde guerre mondiale d’avoir leur témoignage sur ce moment très triste de l’histoire, et de pouvoir partager leurs témoignages aux générations futures »
Shirley Guilbert :
« Il y a eu beaucoup d’émotions face à leurs témoignages »
« Écouter, relater comment ils ont vécu les conditions dans lesquelles ils vivaient comment ils se sont accrochés et ont survécu face à toutes ces atrocités qui pouvaient être réalisées par l’être humain »
« Je réalise aussi malgré ces affreuses histoires la chance que j’avais de pouvoir entendre ces témoins de pouvoir ressentir leurs émotions comment ils ont pu combattre et survivre à ces horreurs »
« Cela m’a également fait réfléchir sur le fait que nous n’avons pas de raisons de nous plaindre pour des choses futiles en comparaison à ce que eux ont pu endurer »
« Pouvoir les écouter nous a permis de voir qu’il faut s’aimer les uns les autres et être solidaires face aux malheurs qui peuvent se produire »
« C’est exceptionnel de pouvoir assister à ces témoignages car c’est surement encore très dur pour eux de raconter leurs histoires en se souvenant de leur passé »
Alexis Géria :
« Cette venue a servi à avoir d’autres points de vue de cette période et des témoignages très enrichissants qui me permettent de comprendre plus facilement cette époque et les difficultés de la guerre »
« Les objectifs sont de nous montrer la terreur et de nous prouver que ce n’est pas un simple passage de l’histoire mais quelque chose de très concret »
Léa Schaeffer
« Ils nous en parlent pour nous montrer à quel point ils ont souffert pour la plupart et pour nous dire de faire en sorte que cet événement ne se reproduise plus car nous sommes en plus de tout cela dans une période difficile »
« Ces personnes sont des personnes qui ne se plaignent jamais mais qui ont pourtant ce lourd passé »
« Tout le monde est touché par ce qu’ils nous ont raconté car c’est poignant, touchant et malheureusement ce qui s’est passé en réalité est ce qui pourrait se reproduire dans la période dans laquelle nous sommes »
Julie Vaillant :
« Pour moi la venue de plusieurs témoins de guerre fut très enrichissante. Ils nous ont transmis leurs souvenirs de cette période. Cette venue nous a permis de mieux comprendre l’histoire. Ce que ces témoins nous ont raconté nous apporte des détails supplémentaires sur les cours d’histoire »
