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Louis Lefort : « J’ai trouvé la visite très riche d’histoire, de recherches et de précision. Cependant, je l’ai trouvé moins tragique que celle d’Auschwitz mais tout aussi marquante. Cette visite a été la preuve de la collaboration en zone libre juste à côté de chez nous. Les films explicatifs étaient très instructifs et bien réalisés et les œuvres révélatrices des souffrances des intéressés » « nous avons discuté de la nécessité d’écouter sa conscience et d’avoir un esprit critique dans la vie pour éviter le conditionnement et ne pas recommencer »

Sébastien Chiche : « Sous l’autorité, l’homme peut commettre des actes inhumains »

Alicia Fabbre : « Je suis très contente d’avoir pu assister à cette visite. Cela m’a permis d’apprendre de nombreuses choses comme la volonté du régime de Vichy de déporter les enfants juifs ou encore les expériences de Milgram et de voir les conditions de vie déplorables des prisonniers (pour dormir ils étaient entassés dans environ 10 cm de poussières et devaient se marcher dessus pour aller aux toilettes) »

Quentin Gharsallah : « Lors de l’atelier pédagogique on a appris qu’il était très facile d’influencer le choix et l’avis de la population en rependant de fausses rumeurs et des préjugés » « j’ai été très surpris de la condition où vivaient les déportés, on a pu ressentir les sensations qu’éprouvaient les prisonniers et la misère dans laquelle ils essayaient de vivre. Cela m’a remplis d’émotions et m’éclaire sur une partie de l’Histoire de la France très sombre. Cela me donne envie d’aller voir et de creuser les vestiges de notre histoire. Cela m’a fait prendre conscience de la gravité de nos actes et de la nécessité de résister à n’importe quelle source d’influence malveillante et de réfléchir par moi-même en prenant du recul et en qualifiant les conséquences de mes actes » «  une visite très enrichissante et pleine d’émotions »

Ethan Thomas : « La seconde guerre mondiale a toujours été un sujet qui me touche comme beaucoup de gens. J’ai toujours été impressionné par le courage des personnes même si environ 10% de la population de la France ont résisté on sait que 1 personne peut en sauver des milliers comme Schindler.»

Edouard Morand : « J’ai eu beaucoup d’émotions lors de la visite de ce camp car c’était le premier que je visitais et c’est l’un des rares camps européens à être en bon état. Si ce musée existe c’est pour le devoir de mémoire et je pense éventuellement inviter d’autres personnes pour visiter ce camp et renforcer leur esprit critique et leur conscience pour éviter de nos jours de retourner dans ce genre d’extrémisme »

Evann Denis : « si je dois retenir quelque chose de ce camp toute ma vie c’est sûrement cela : 

Evann Denis : « J’ai bien aimé cette visite, elle m’a appris des choses sur ce camp, j’ai bien vu que les français ont fait des choses horribles comme les déportations d’enfants sans la demande des nazis (le plus jeune à 1 an). J’ai aussi vu que des étrangers ont fait confiance à la France mais elle les a trahis. Il faut résister et plus on résiste tôt mieux c’est car il est vite déjà trop tard et cela devient vite difficile  de résister »

Paul Malherbe  « On a du mal à s’imaginer que le génocide représente 6 millions d’êtres humains mais c’est énorme. Ils avaient pourtant tous une vie et peut être un grand avenir mais ce n’est pas le destin qui a choisi leur sort. Les nazis et les collaborateurs leur ont enlevé leurs droits, leur identité ; leur futur .. C’est maintenant notre travail de faire en sorte que cela ne se reproduise pas »

Thomas Long : « Pendant cette visite j’ai été assez choqué des conditions de vie de ces gens. Je ne savais pas qu’il y avait eu des camps tel que le camp des Milles et cela m’a fait peur de savoir que des militaires français et pas des nazis aient pu faire cela » 

Romain Geffroy : « Cette visite a été une expérience qui nous a montré la vie de ce camp, nous a aidé à être des citoyens éclairés et plus responsables »

Una Fargeas : « j’ai eu beaucoup de frissons. Voir ces feuilles avec le nom des enfants, les listes comme s’il s’agissait de bétail m’a horrifié. Le pire, ce sont les cartes d’identité avec la forme du nez, la couleur des yeux, des cheveux me font penser aux esclaves, comme s’ils allaient être vendus. J’en ai eu un nœud à la gorge. Puis les expériences et les résultats m’ont choqué. Est-ce que j’aurai réagi comme cela ? J’ai eu une profonde remise en question. Malgré mes vêtements chauds j’ai pu ressentir le froid. Je me suis sentie faible lorsque j’avais faim, eux, ont vécu cela pendant des jours. J’ai cauchemardé mais c’était un mal pour un bien, pour que je me puisse me rendre compte de l’horreur. J’espère refaire cette visite avec mes proches pour qu’ils comprennent eux aussi »

Arno Bendriss : « Ce fut très difficile d’imaginer les conditions de vie à l’époque, je me demande encore comment la haine et l’ignorance ont pu amener à des telles horreurs. »

Mélissa Chami : « Cette visite était une expérience pour essayer de nous faire grandir, nous responsabiliser, nous montrer la vie des déportés à l’époque »

Danaé Caneri : « Ces choses inhumaines qui se sont produites peuvent recommencer. C’est à nous e faire attention. Il faut continuer de montrer et d’expliquer ce passé douloureux pour ne pas l’oublier et ne pas le reproduire »

Marie Margheriti : « L’atelier pédagogique nous a permis de comprendre à notre échelle, l’impact et les conséquences de l’influence du groupe et de l’autorité »

Hugo Barale : « Notre atelier était l’atelier psychosocial ayant comme objectif de nous aider à devenir des citoyens éclairés faisant preuve d’esprit critique en nous montrant des vidéos qui parlaient de la soumission aveugle à l’autorité et le conformisme du groupe. Ce volet réflexif nous a permis de comprendre comment les gens ont été embrigadés par les autorités. A travers les expériences psychosociales nous avons pu constater que l’homme est facilement manipulable par l’autorité. Ces expériences font peur car elles nous montrent que cela peut encore se reproduire »

Julie Vaillant : « L’atelier pédagogique a montré à quel point l’homme est influençable et de la nécessité de se méfier »

 Sophia Ouhocine : « La partie que j’ai préféré c’est la partie pédagogique car on comprend mieux comment les fascistes ont fait pour organiser et faire ce massacre. J’ai appris qu’il y avait pleins de facteurs (le groupe, se déresponsabiliser …). Cet atelier va je pense me servir pour l’avenir car malheureusement l’humain n’apprend pas toujours de ses erreurs et des génocides et des massacres peuvent encore se reproduire »

Léa Brahame : « L’atelier pédagogique a été très enrichissant car il nous a montré comment certaines personnes peuvent devenir des monstres et comment cela peut aboutir à un génocide. Je pense que ce genre de visite est bien pour nous et pour tous car il est important de se remémorer le passé afin de ne pas reproduire les mêmes erreurs »

Axelle Jordana : « Beaucoup d’émotions et de tristesse ressorte de cette visite. Ce lieu de mémoire évoque les pires moments de la guerre qui me font ressentir l’horreur qu’on pu vivre ces personnes. L’horreur de cette guerre n’a pas été commise seulement en Allemagne mais aussi très près de chez nous… »

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